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La citoyenneté européenne, au cœur de la démocratieU4U a créé il y a deux ans avec d'autres associations européennes une Plateforme citoyenne européenne (PCE) permettant d'organiser des rassemblements pro-européens, des évènements culturels, des débats citoyens. Le 5 février dernier une première rencontre citoyenne a été organisée sur le thème "La citoyenneté européenne au cœur de la démocratie européenne". En voici le verbatim qui traduit un débat vif mais qui n'a pas encore cristallisé des réponses. La rencontre citoyenne suivante se tiendra le 5 mars à 12 heures sur le thème : "Migration, quelle crise"? Le 5 février, au PressClub, la plateforme ECP organisait une rencontre citoyenne sur « La citoyenneté au cœur de la démocratie européenne ». Ceci, dans le cadre des consultations citoyennes sur l’avenir de l’Union européenne organisées jusqu’aux élections au Parlement européen fin mai 2019. Une première intervention souligne que le droit de vote local et européen des citoyens européens n’est pas aligné sur la structure européenne : les Européens élisent les membres du Parlement européen et les instances locales mais pas les membres du Conseil ou du Conseil européen (qui sont des ministres nationaux ou des chefs d’Etat). Les espaces démocratiques ne dialoguent pas entre eux et la sphère publique dans l’UE est fragmentée. Cela peut expliquer que peu de gens prennent part aux élections européennes. Un participant belge rappelle que l’abstention est un acte significatif : il faut la prendre en compte, c’est un indicateur. Un autre relève l’inégalité des droits électoraux en Europe : parfois le vote est obligatoire (Grèce, Belgique), parfois non ; les règles varient notamment pour les expatriés et les non nationaux ; les règlements électoraux eux aussi diffèrent. Les citoyens mobiles ne savent pas où ils peuvent voter. Un autre fait valoir que le vote est souvent ignoré et que cela convainc beaucoup de gens que voter ne sert à rien: Delors voulait l’Europe monétaire et l’Europe sociale, on a eu la première mais pas la seconde. Après l’échec du Traité constitutionnel, on l’a remplacé par le traité de Lisbonne (adopté par les parlements, pas les peuples). Les gens se sont dit que l’élite avait son programme et qu’on ne pouvait rien changer. Puis il y a eu la crise financière : on a sauvé l’euro mais le dégât sur les personnes a été catastrophique dans plusieurs pays. 3,5 millions de personnes se sont exprimés contre le TTIP : où en est-on aujourd’hui ? D'autres avancent que la controverse n’est pas anti-démocratique, au contraire il faut l’accueillir. Un participant estime que le débat sur le TTIP a été pris en otage par les dirigeants wallons qui faisaient campagne locale et qui ont surfé sur la résistance à l’Europe. D’autres estiment qu’il faut réagir à la révolte des gilets jaunes et même au Brexit et ramener les gens à l’Europe. Un participant remarque que l’acquis européen aujourd’hui va de soi : les dirigeants actuels n’ont plus de lien avec le projet historique et sont incapables de l’expliquer/de l’assumer. Dans les années 90, le projet était de faire l’euro et de l’accompagner d’une Europe sociale mais cette dernière a été oubliée. Et donc, les gens et les jeunes sont devenus cyniques. Une question se pose: qui bloque, la technostructure ou les Etats membres ? Qui a bloqué le social au Royaume Uni ? Pourquoi T. Piketty veut-il renforcer les parlements nationaux comme s’ils étaient plus légitimes que le Parlement européen. On occulte les causes des blocages : on a divisé les Européens entre nouvelle et vieille Europe, sans qu’on s’y soit opposé. Un participant avance que la citoyenneté européenne manque de visibilité : c’est un problème de sensibilisation. HK reconnait la complexité des questions européennes, fort éloignées des problèmes quotidiens (les questions de consommateurs par exemple), mais il observe aussi que les dirigeants nationaux font peu de chose pour remédier au manque de connaissance : ils sont dans une situation de conflit d’intérêts en tant que décideurs européens qui n’ont de compte à rendre à personne au niveau européen. Un participant mentionne la « lasagne institutionnelle » en Belgique : l’Europe n’a pas le monopole de la complexité. Il faut sensibiliser, pas seulement communiquer. Quelqu’un rappelle qu’en Belgique, on tient trois scrutins en même temps, en faisant le calcul que l’électeur qui vote aux régionales, au fédéral votera pour la même tendance au niveau européen. Suzan opine : trop lier les élections nationales et européennes c’est condamner ces dernières à l’invisibilité. Le manque de connaissance des questions européennes génère la suspicion et le manque de confiance. Même si les Européens ont des valeurs et une culture communes, les vécus varient : la perception de l’euro n’est pas la même en Allemagne et en Grèce. L’opinion publique reste fragmentée car il n’y a pas d’espace politique paneuropéen et que par ailleurs, on n’explique pas que l’Europe protège. Mais ajoute un participant, l'adhésion à l'Union européenne est majoritaire. On souligne que l’hétérogénéité des lois électorales empêche l’émergence de partis transnationaux et l’expression démocratique européenne, ce qu’un parti comme VOLT essaie de corriger en présentant des listes dans tous les Etats membres. Par ailleurs, le fait que le Parlement européen n’ait pas le droit d’initiative est aussi un frein, (même si rien n'empêche de faire des listes transnationales dans chaque pays). Cette dernière remarque ne convainc pas : le triangle institutionnel (une Commission qui propose, un Parlement et un Conseil des Etats qui font les lois ensemble et à égalité) respecte la séparation des pouvoirs ; en outre, le Parlement européen demande à la Commission de présenter certaines initiatives. Une autre rappelle qu’on ne peut pas parler seulement d’institutions : il faut aborder la question des valeurs, de la confiance et du sentiment d’appartenance. Par ailleurs, tout citoyen européen peut être candidat mais cela est peu connu. Aujourd’hui, on observe une montée d’intérêt pour faire campagne dans un autre pays (notamment parmi les citoyens britanniques) et cela coexiste avec la montée de l’euroscepticisme. Elle interroge : êtes-vous prêts à faire campagne ? Quelqu'un rappelle que la Commission Delors a pu jouer son rôle parce qu’il y avait un accord politique entre États membres ce qui a permis que la Commission puisse jouer réellement son rôle pour promouvoir l'intérêt général européen.. Ce n’est plus le cas aujourd’hui et les instances dominantes ne sont pas forcément démocratiques (l’eurogroupe par exemple). En l’absence d’accord, comment l’UE peut-elle répondre à l’urgence sociale et aux questions qui sont européennes (emploi, éducation supérieur, énergie, environnement, etc.) ? C’est là qu’il faut se mobiliser. Une participante signale une plateforme (« I am a Federalist ») qui promeut les candidats pro-européens. Les pro Européens sont dispersés, là où les populistes s’organisent. Il faut collaborer. On rappelle que la Plateforme citoyenne se donne justement cet objectif : c’est une structure sans financement majeur, qui n’est pas destinée à être permanente mais qui vise à faciliter le regroupement des forces en vue des élections de mai 2019. L’objectif est bien de collaborer. On revient aussi sur le fait que les populistes prennent en otage le débat citoyen et le coince dans des espaces renationalisés, en faisant miroiter que le salut est dans le chacun pour soi. Quelles solutions peut-on trouver pour contourner cette difficulté? Une participante mentionne le besoin d’éduquer à l’Europe et signale l’initiative Retour à l’école. Une autre relève que l’éducation civique à l’Europe n’est pas même disponible dans les Ecoles européennes. La presse ne parle pas des élections européennes et les élites ne communiquent pas. Un participant nuance : à la télévision française (FR2), on a présenté les têtes de listes (françaises) aux Européennes et il souligne que Macron a osé parler de souveraineté européenne. Quelqu’un critique l’idée de candidatures connues pour les élections européennes : reprendre les mêmes ne mènera nulle part ! On note aussi que 70 000 personnes ont manifesté pour le climat, la mobilisation pour les GAFA a été forte. Il faut dire que ce sont des sujets pour l’Europe qui a la capacité d’une réponse pour le Continent. Il faut aussi sans doute dépasser les clivages idéologiques du passé. Il faut croire en l’éducation civique mais à la mobilisation citoyenne: les gens savent que la mondialisation les dessert et qu’ils sont enfermés dans leur territoire. Tout le monde comprend quand on parle de solidarité pour le climat, la migration, l’énergie… Une intervenante observe qu’on ne peut être ambigu (ne pas se fâcher avec Orban) sans perdre en crédibilité. Une autre demande de la cohérence : on ne peut donner d’une main et reprendre de l’autre. Les citoyens comprennent tout à fait les enjeux. On mentionne aussi les Brexiteers, en particulier les Gallois qui vont perdre les financements européens dont ils ont largement bénéficié. Il faut sans doute aller au-delà du vote pour défaire les campagnes mensongères comme celles qui ont été menées au Royaume Uni. On rappelle que, l’opinion pro-européenne s’est affirmée dans les autres pays. Il faut profiter de ce rebond. Par ailleurs il faut dire aussi ce que l’Europe ne peut pas faire (le social par exemple, qui est à l’unanimité, un seul pays peut tout bloquer) et clarifier les responsabilités entre le niveau national et le niveau européen. Il est rappelé que le Royaume Uni n’a pas voulu de dérogation à la libre circulation des travailleurs. Son est donc largement la cause du sentiment anti migrant qui s’est développé en Angleterre. Le problème a été une libéralisation forcée qui a été menée sans accompagnement social. Par ailleurs, il ne faut pas dramatise le Brexit: nous savons ce que nous voulons être, laissons partir ceux qui veulent et avançons sans eux. On opine : oui, nous voulons une « économie sociale de marché ». Enfin, il est proposé propose que les citoyens fassent pression pour réintroduire les valeurs (sociales, environnementales) dans l’agenda européen. Plusieurs propositions sont avancées : organiser une Marche pour la citoyenneté européenne, par exemple lors de la journée Portes ouvertes le 4 mai et répéter ainsi la mobilisation qui avait eu lieu lors du 60e anniversaire du Traité. Favoriser un mouvement euro citoyen avec 3-4 messages-clés. février 2019 Plateforme citoyenne européenneCette rubrique ne sera plus mise à jour car nous avons ouvert un site web spécial pour la PCE ! Rendez vous sur le site web european-citizen.eu ! Notre plateforme fait partie d'un groupe pour l'instant informel, qui a pour objet de promouvoir la construction européenne et le rôle de Bruxelles en tant que creuset et inspiration d'une citoyenneté européenne harmonieuse.
28 juin,#wakEUp - Brussels, 28 June
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Introduction des associations présentes (tour de table) | |
Développements de la Plateforme | |
Organisation de l’événement du 25.03.2018 à l’occasion du 61ème anniversaire du Traité de Rome - Place du Luxembourg | |
Divers. |
Vous remerciant d’avance de votre participation et comptant sur votre présence pour cette importante réunion.
« ECP/ EUROPEAN CITIZEN PLATFORM » Next Steps….
Les avantages liés à la présence des institutions européennes et de la communauté internationale à Bruxelles sont incontestables.
On assiste malheureusement aujourd’hui à un déficit de l’image de l’Europe, une morosité ambiante (suite aux crises aux attentats, et au chômage etc..) et l’existence réelle d’un “Brussels Bashing”. Il est donc primordial de valoriser une meilleure image et une meilleure visibilité de l’Europe et ses Institutions et des attractions mises en place liées à la thématique de l’Europe à Bruxelles notamment, telles que le Parlementarium, Mini-Europe, le futur Musée de l’histoire européenne, le circuit piétonnier européen etc..
Dans un contexte après Brexit, il est d’autant plus nécessaire de communiquer autrement, de renforcer cette notion “d’euro-citoyenneté“ et l’appartenance à une capitale comme Bruxelles une capitale qui représente “500 millions” de citoyens au sein de l’Europe. De nombreuses associations d’expats, ou tout simplement des associations culturelles regroupant des citoyens de la même nationalité sont présentes et fières d’être à Bruxelles, chacune représentant des milliers de personnes. On constate un manque de transversalité entre les différents groupes et acteurs culturels, internationaux et européens qui sont présents à Bruxelles, ainsi qu’une faible participation dans certaines de ces associations à la vie Bruxelloise et vice-versa.
Par ailleurs, il faut relancer le débat sur le projet européen et la notion “d’euro-citoyenneté”. Plus mettre à l’honneur les citoyens, les jeunes générations, les associations, les locaux. Leur donner l’envie de découvrir et d’aimer l’Europe et leur “donner la parole”. Dans cette optique, nous devons créer un espace de citoyenneté européenne pour échanger concrètement sur ce qu’est la citoyenneté européenne et créer des grands évènements mobilisateurs.
L’attractivité de Bruxelles est importante puisque Bruxelles est le centre politique et administratif de l’Europe et compte de nombreuses entreprises nationales et étrangères, ainsi que de nombreuses institutions européennes. De nombreux acteurs y sont présents (lobbyistes, consultants, presse internationale, missions diplomatiques, etc..).
Objectif de la plateforme.
L’objectif de la mission serait de renforcer et développer une grande plateforme intitulée « European Citizens Platform », une grande coupole fédératrice (Task Force) qui regrouperait tous les acteurs de la citoyenneté européenne (think thanks, associations professionnelles, associations culturelles, internationales, européennes, médias européens, régionaux, collectifs, citoyens, etc..) présents à Bruxelles ainsi que toutes les associations et groupes culturels et les associations ayant un lien avec les missions diplomatiques et fixer des évènements « Euro-citoyens » mobilisateurs et de grande ampleur à Bruxelles, qui serviraient d’exemples et de vecteurs pour toutes les villes d’Europe. Une Coupole qui serait chapeautée par un Comité d’honneur avec des personnalités.
L’objectif serait d’apporter un complément aux actions déjà menées, par l’activation d’un sentiment commun d’appartenance « euro-citoyenne » à la fois à la Ville-Région-Capitale et à son rayonnement européen, voire international en fédérant les différentes associations décrites et présentes à Bruxelles avec toutes cette vocation d’appartenance à la citoyenneté européenne à Bruxelles.
Dans ce contexte, de nombreuses réunions se sont déjà tenues depuis plus d’un an en présence de leaders d’associations représentant des centaines voir de milliers de personnes (Think Thanks, associations d’expats, syndicats de fonctionnaires européens, fondations, médias européens, etc..) qui ont tous déjà souscrit à cette démarche. Un projet de Manifeste avait été créé à cet effet et traduit en trois langues.
Cette Plateforme euro-citoyenne sous le nom de circonstance « March for Europe » a organisé le 25 mars dernier le 60ème anniversaire du Traité de Rome sur la Place du Luxembourg. Grâce aux différents réseaux actionnés par les différentes organisations membres de l’ECP (U4U, Stand Up, JEF, EU logos, Pulse, etc…) et « pro » européennes, plus d’un millier de personnes étaient présentes et en particulier des jeunes qui sont l’avenir de l’Europe.
Tous ont cette volonté de valoriser le concept de citoyenneté européenne après Brexit. Certains insistent sur l’utilité d’initier des projets européens culturel, sportifs, évènementiels ou autre comme outils d’intégration des européens dans la réalité belge. Montrer aux autres ce qu’est l’appartenance à l’Europe au départ de Bruxelles.
L’ECP vise à fédérer
- Une volonté de (re)définir et valoriser l’euro-citoyenneté
- De lutter contre le « Brussels Bashing »
- De sensibiliser la jeunesse au projet et valeurs européens
- De revaloriser l’image de l’Europe dans les médias
- De continuer à jeter les ponts entre les citoyens et les Institutions européennes
- De renforcer le sentiment d’ »euro-citoyenneté » à Bruxelles
- Et d’organiser des évènements et l’adhésion à une charte/un manifeste de l’euro-citoyenneté
Etapes futures:
• Créer un référencement de toutes les associations « pro-Europe » et de toutes les associations culturelles, d’expats à Bruxelles dans un premier temps et les motiver comme moteurs d’une action pragmatique de valorisation de l’UE au départ de Bruxelles
• Créer et développer une Coupole « euro-citoyenne » avec des relais plus tard dans chaque pays membre (via Comité des Régions et Conseil européen des villes et des communes). Développement d’une Task force/Coupole représentative des eurocitoyens et des acteurs internationaux qui composent Bruxelles et qui puissent initier à travers des actions concrètes et pratiques des solutions qui reflètent son homogonéité, son futur européen et son rayonnement international et ce en coopération directe avec la Région et avec les acteurs multiculturels, internationaux, européens, régionaux et locaux.
• Contribuer à l’organisation d’événements transculturels
NEXT STEPS – A DEVELOPPER – A Discuter.
• Création d’un Groupe de travail pour retravailler le contenu du Manifeste/ A décider
• Activités de référencement des associations membres et pro-actives (Bruxelles et autres pays Europe) – Projet de liste
• Préparation d’un grand forum à réaliser dans le cadre du Comité économique et social/janvier 2018 ?
• Développement de la Coupole + Charte constitutive
• Développement d’un site Internet/ Page Facebook
• Supports de communication
• Autres activités : EU networking event/Concert/Drink
• Recherche de fonds financiers/ structure.
Evénement : Suite à notre réunion de lundi dernier et suite aux choix qui se sont posés ensuite (soit un samedi le 23 ou le 30 septembre de 14 à 16 heures) je vous confirme notre choix définitif pour le vendredi 29 septembre prochain en prévoyant un horaire décalé un peu plus tôt compte tenu de la météo à cette période là et des contraintes de sécurité/bruit énoncées lundi dernier. Soit de 17 à 20.30/21 heures. Un rapport est préparé au niveau communal et passera au Collège officiellement avec tous les éléments.
Notre prochaine réunion aura lieu lieu comme convenu ce lundi 11 septembre à 17.30 au lieu de 18 hrs au Press Club. A l’ordre du jour:
• L’événement du 29 septembre - Préparation/organisation.
• Agenda précis des prochaines activités: autre événement en octobre
(universités/ jeunes), développement des réseaux et autres associations
européennes et culturelles, grande réunion plénière (au CEESE ou Press Club)
pour la finalisation et la signature d’une Charte accompagnée d’objectifs
concrets (début décembre).
Pour mémo, nous avons convenu la semaine dernière 1er juin d'organiser deux événements. L'un se tiendra le 29 juin prochain sous forme de drink avant l'été sur la terrasse au premier étage du Grand Central et l'autre sera un événement de plus grande ampleur, comme discuté au préalable et se tiendra le 22 septembre Place Sainte Croix (Flagey).
Bonjour à toutes et tous,
Encore grand bravo et merci pour votre participation forte et celle de votre
association ce mardi 9 mai pour la fête de l’Europe sur le Square de Meeus!
Merci pour tous les ingrédients de tous allant de BXFM, la machine des pop corn,
à la musique,au DG, aux drapeaux etc… Malgré le fait que l’on était plus en
retrait et que d’autres événements se juxtaposaient ce jour là:-)
Un moment important qui nous a permis à tous de nous exprimer et de
consolider notre démarche, notre mouvement et qui nous donne qu’une envie de
refaire rapidement un grand événement festif et multi/culturel dans le Parc
Léopold ou Place Sainte Croix, fin juin ou septembre (à décider). Notre
engagement est fort, nous devons renforcer notre projet et structurer rapidement
nos actions prochaines. C’est pourquoi, nous nous donnons rendez-vous ce lundi
15 mai à 18.30 heures au Press Club, pour le débriefing du 9 mai et nos actions
futures.
Car l’Europe, c’est nous!!!
L'événement aura lieu sur le Square de Meeus à Bruxelles de 18h00 à 20h30. Les discours des personnalités du monde de la société civile, de la culture et de la politique débuteront à 18h30. Des lectures et un moment musical pour célébrer la Journée de l'Europe se tiendront avant et après les discours.
Quoi? Animations, discours, musique pour montrer notre soutien pour le projet européen
Qui ? La @European Citizens Platform et @March pour l'Europe 2017
Où? Square de Meeus, 1050 Ixelles
Quand? 9 mai, 18 h à 20 h 30
Pourquoi? Soutenir l'idéal européen et demander un relance de l'intégration politique de l'UE
Le 9 mai est la fête de l'Europe. Nous célébrons le 9 mai 1950, le jour où Robert Schuman annonça la création de la première Communauté européenne, ce qui devint finalement l'Union européenne d'aujourd'hui. Dans près de 70 ans d'histoire, l'intégration européenne a fait d'incroyables progrès.
Pourtant, aujourd'hui, l'Union européenne reste une construction incomplète à risque de se démêler sous la pression des crises multiples et de l'augmentation du populisme et du nationalisme dans de nombreux pays. Le projet européen repose sur les valeurs de la paix, de la démocratie, de la liberté, de la solidarité et de la primauté du droit. Il est temps que tout un chacun réaffirme ces valeurs qui représentent l’Europe. Il est temps que les citoyens d’Europe s’approprient à nouveau ce projet. Marchons pour l’Europe, pour la démocratie et un nouvel idéal au service de tous les européens.
L'initiative March for Europe - promue par l'Union des fédéralistes européens, les Jeunes fédéralistes européens, le Mouvement européen, le Groupe Spinelli et Stand Up for Europe - en coopération avec la Plateforme européenne des citoyens de Bruxelles, appelle tous les citoyens européens vivant à Bruxelles pour célébrer la Fête de l'Europe, montrer son soutien au projet européen et réclamer une relance de l'unité politique européenne.
Pour ceux qui croient en une Europe forte, unie et démocratique, il est temps de se lever contre le nationalisme et le populisme. Pour une Europe de l’unité, contre les divisions et les nouveaux murs. Pour une Europe unie qui respecte ses promesses de paix, de liberté, de sécurité et de prospérité. Pour une Europe de solidarité et de responsabilité partagée. Pour une Europe qui protège les intérêts et les valeurs de l’Europe dans le monde. Pour une Europe de la démocratie qui renforce la participation des citoyens européens. Pour une Europe de l’espoir, contre une Europe de la peur. Pour le relance et l'achèvement de l'unité politique européenne.
L'Europe, c'est nous!
Encore grand merci à tous, aux membres de vos associations, à David, à BXFM et bien d’autres pour ce beau succès de foule et cet enthousiasme manifesté hier sur cette Place du Luxembourg, à l’occasion du 60ème anniversaire du Traité de Rome. Le beau temps y a également fortement contribué!
Un beau moment symbolique, qui nous encourage à nous battre encore plus en ce que nous croyons et de poursuivre nos travaux (Manifeste, priorités) dans le contexte de cette Plateforme européenne citoyenne. L’Europe c’est nous!
Nous proposons de nous revoir le lundi 3 avril à 18 heures au Press Club pour faire le point et se préparer pour la prochaine étape, celle du 9 mai!
Suite à notre réunion de lundi 6 mars et suite aux modalités décidées, ci-joint un débriefing de la situation relative à l’organisation de la mobilisation du 25 mars prévue prévue Place du Luxembourg de 14 à 16 heures, à l’occasion du 60ème anniversaire du Traité de Rome.
Les autorisations ont été délivrées officiellement. Un podium, une tente, l’infrastructure pour les discours et la musique sont mis à disposition.
La page Facebook est opérationnelle sous l’égide des différentes organisations (ECP, Stand Up, JEF, etc…), qui comprend le Manifeste et mise et sous le titre de « March for Europe ». Clicker sur le Lien….Merci de la partager au maximum : https://www.facebook.com/EuropeanCitizenPlatform/
Une retranscription sur un écran avec quelques moments forts de la marche à Rome qui se déroulera deux heures avant, sera programmée à cette occasion.
Concernant les discours des personnalités, merci de me transmettre le plus rapidement possible les noms des personnes qui interviendront de façon très courte sur le Podium (exigences de la Police) Merci de me transmettre vos suggestions pour les orateurs. Qui sera en charge de la modération ?
Le choix du slogan "Tous ensemble pour l’Europe. L’Europe, c’est nous!" ?
Merci de mobiliser tous vos réseaux et de me faire part de vos suggestions ou vos demandes. Entre-temps, nous avons contacté les différents acteurs pouvant être également impliqués (Visit Brussels et autres institutions). Une proposition d’invitation par mail « à l’appel à la mobilisation vous sera envoyé et à transférer vous sera envoyé également.
Une prochaine réunion de coordination aura lieu lundi 13 mars prochain à 18 heures au Press Club. Au plaisir de se revoir lundi soir.
Au programme de cette nouvelle rencontre, nous allons, comme convenu, proposer plusieurs actions concrètes, ainsi que des propositions claires sur l'Europe que nous voulons défendre.
Soyez des nôtres pour ensemble, réaffirmer notre idéal européen, et aller de l'avant. Nous invitons tous ceux qui le souhaitent à nous rejoindre au Press Club de Bruxelles, le lundi 27 février à 18 heures.
Nous vous informons que nous avons obtenu l’autorisation pour notre mobilisation Place du Luxembourg le 25 mars prochain qui se tiendrait de 14 à 16 heures, à l’occasion du 60ème anniversaire du Traité de Rome. Nous mettons en route la Page Facebook aujourd’hui ainsi que l’infrastructure de l’organisation qui en découle.
Cher(e)s ami(e)s européens,
Comme vous, nous pensons que l’heure est grave pour l’Europe, qui connaît une
succession de crises à l’ampleur inégalée.
Parce que les institutions qui la constituent sont implantées à Bruxelles, nous
pensons que c’est aux citoyens d’agir, notamment aux Bruxellois d’agir!
Nous voulons ouvrir un réel débat sur cette Europe à laquelle nous tenons tant,
mais qui doit aujourd’hui être questionnée si elle veut survivre.
C’est pourquoi nous invitons tous ceux qui le souhaitent à nous rejoindre au
Press Club, le lundi 13 février à 18 heures en présence de Daniel Guéguen afin
d’en débattre et de valider les objectifs de la Plateforme Euro-citoyenne.
Calendrier :
27 février: présentation de la trame du Manifeste | |
27 mars: mobilisation à l’occasion de l’Anniversaire du Traité de Rome + présentation à la Presse du Manifeste et du Mouvement citoyen |
Cher(e)s ami(e)s européens,
Comme vous, nous pensons que l'heure est grave pour l'Europe, qui connaît une
succession de crises à l'ampleur inégalée. Parce que les institutions qui la
constituent sont implantées à Bruxelles, nous pensons que c'est aux citoyens,
notamment Bruxellois, d'agir.
Nous voulons ainsi ouvrir un réel débat sur cette Europe à laquelle nous tenons
tant, mais qui doit aujourd'hui être questionnée si elle veut survivre.
C'est pourquoi nous invitons tous ceux qui le souhaitent à nous rejoindre au
Press Club de Bruxelles, le vendredi 16 décembre à 18 heures pour en débattre.
Vous trouverez ici le texte de notre
appel aux citoyens (NL
EN).
Ordre du jour :
Documents de travail : Texte de l'appel
Appel au débat citoyen de la plateforme citoyenne européenne
Nous, bruxellois européens, appelons à une Europe plus solidaire, plus citoyenne
Notre Europe suscite des interrogations, quand ce n'est pas un rejet.
Les citoyens considèrent qu’elle ne répond plus de façon satisfaisante aux problèmes qui les concernent : chômage de longue durée, éducation qui prépare mal à la vie d’adulte, solidarité défaillante, faible croissance, virage tardif vers une économie durable, défis de sécurité... Le débat citoyen paraît en panne.
L'expérience du siècle dernier, des deux guerres civiles européennes devenues mondiales, a poussé l'humanité au bord du gouffre, mais tout cela s’estompe dans les mémoires. La remontée des nationalismes en Europe et ailleurs, a engendré un repli des nations. Il en découle un sentiment de peur : de l’autre, de l’avenir et du déclin. Ce ressenti induit des égoïsmes et de la violence. Et pourtant, l’histoire a prouvé que la coopération renforcée et l’entraide peuvent unir et faire avancer les peuples vers un destin commun. lin… Mais la peur est mauvaise conseillère, elle induit la montée des égoïsmes et de la violence. Au contraire, la bonne réponse est dans plus de coopération, plus de solidarité.
L'Europe a été bâtie à la fin de la seconde guerre mondiale pour répondre à cette expérience tragique. Elle a voulu suivre un autre chemin, celui de la coopération, de la solidarité, du développement économique, de la démocratie et de l'état de droit et pour ce faire elle s’est dotée d’institutions communes. Elle l'a partiellement réalisé. Mais maintenant, son action est contestée à tous les niveaux, et les raisons de sa création ont été oubliées.
Mais nous, citoyens d'Europe, nous, citoyens de Bruxelles, nous n'avons pas oublié. Nous ne permettrons pas, que certains régimes autoritaires en Europe ruinent ce que nous avions patiemment bâti. Nous ne voulons pas que les régimes autoritaires dits ‘post-démocratiques’ qui s’établissent ou menacent de s’établir dans plusieurs pays d’Europe remettent en cause les acquis fondamentaux de la démocratie et de la construction européenne. Nous voulons que la construction européenne aille de l'avant et préserve sa capacité de répondre aux défis communs. Nous pensons que les citoyens européens sont plus forts unis dans leur diversité, plus forts ensembles que divisés. Nous pensons que nous sommes un peuple en construction.
En 2017, nous allons fêter l'anniversaire du lancement de notre aventure collective, la signature du Traité de Rome. À cette occasion, les institutions vont lancer un débat sur l'avenir de l'Union. Nous voulons y participer pour affirmer les valeurs qui nous tiennent à cœur, pour réfléchir ensemble à une voie commune, choisie démocratiquement.
Notre avenir ne peut être défini sans nous et pour nous, et nous devons participer à sa définition. Ce chemin est celui de la solidarité, de l'innovation, de la cohésion, de l'environnement, de la démocratie, seule voie réaliste pour sortir de l'impasse actuelle.
Nous voulons en discuter ensemble. Ce ne sera qu’avec l’implication des citoyens européens – les "euro citoyens" - dans le débat que l’Europe trouvera un nouvel élan.
Et c'est pourquoi nous invitons les citoyens de Bruxelles, les citoyens d'Europe, ainsi que leurs associations, à un premier débat le 16 décembre 2016.
Plateforme citoyenne européenne - European Citizen Platform
Ordre du jour
Approbation du texte de la charte amendée | |
Liste des organisations/associations pro-européennes | |
Projet d’invitation | |
Idées de slogan, de plateforme et de logo | |
Agenda des événements: 9.12 au Press Club (préparation de la réunion du 27.02) , 27.01 au CESE (Comité économique et social) et mobilisation du 28.03 (anniversaire Traité de Rome). |
Documents de travail : projet d'invitation ; Déclaration de Rome rédigée par une quarantaine de NGO’s en Italie en vue de la manifestation prévue à Rome en Mars 2017 pour l’anniversaire du traité de Rome ; Petition au PE sur la citoyenneté européenne
Document de travail : Projet de texte fondateur Euro citoyens : Lignes directrices pour les droits, l’engagement et la confiance des citoyens européens
Compte-rendu de la réunion précédente
Documents de travail : Texte vision, Eurokets, Pour une citoyenneté européenne étendue
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